Les croupiers en direct – le dernier atout des casinos en ligne

Les casinos en ligne sont devenus de plus en plus populaires au cours des dernières années. Les raisons de cette popularité sont multiples: jouer dans un casino en ligne est moins cher, l’action est plus rapide et plus pratique parce qu’on joue dans l’intimité de sa maison. De plus, beaucoup de joueurs trouvent que les probabilités de gain sont plus élevés aux casinos en ligne qu’aux casinos terrestres. Mais il y a encore des joueurs mécontents qui n’aiment pas jouer sur les sites web des casinos simplement parce que ceux-ci n’ont pas de croupiers réels. Eh bien, sans doute ces joueurs n’ont pas fait une bonne recherche et n’ont pas découvert les multiples possibilités de jouer en ligne.

A part les casinos en ligne classiques avec lesquels tout le monde s’est familiarisé, les développeurs de logiciels de jeu ont équipé les casinos de dernière génération d’une version avec un croupier en chair et en os qui interagit en direct avec les clients. Ces casinos ont une riche offre de blackjack, roulette et baccara et sont visités particulièrement pour ces jeux. Ce sont des jeux classiques où les joueurs jouent contre la maison et il est important de voir une personne réelle qui représente la maison.

Cette nouvelle option est largement utilisée par les casinos Playtech. Ce développeur de logiciels de casino est en effet le numéro un des casinos avec croupier en direct. On recrée avec succès l’ambiance d’un casino terrestre puisque, après tout, le croupier se trouve en fait dans un casino de ce genre. Le jeu se déroule en temps réel, ainsi que le joueur voit le croupier répondre à ses actions.

Une autre chose étonnante au sujet des casinos avec des croupiers réels est que l’option comprend aussi l’interaction en temps réel avec d’autres joueurs en chair et en os. Disons donc que vous jouez au blackjack dans un tel casino. Vous vous connectez sur votre compte au casino, plus précisément, à la salle de blackjack en direct. Une fois que vous trouvez un siège à une table, vous commencerez à jouer et vous verrez de vos propres yeux les avantages et les inconvénients des jeux avec un croupier réel.

Si vous le voulez bien, vous pouvez même dialoguer avec les autres joueurs à la table, tout comme à une table réelle. Cela est une réelle valeur ajoutée du jeu et vous pouvez réellement améliorer les niveaux de vos compétences en regardant les autres joueurs, leur posant des questions et répondant, à votre tour, à leurs questions. Il s’agit vraiment d’une culture de jeu authentique qui apporte des bénéfices à tout le monde.

Toutefois, avant de jouer avec et pour de l’argent réel, essayez le mode démo des jeux. Presque tous les casinos ont cette option. Même alors, il est indispensable de lire les termes et conditions du casino et de s’informer sur les conditions de mise pour le bonus de bienvenue offert. Enfin, avec tout cela, il semble que les amateurs de casinos terrestres n’aient plus de raison d’éviter les casinos en ligne!

Harrah’s Entertainment devient l’administrateur de Planet Hollywood Resort

Harrah’s Entertainment prend le contrôle du complexe hôtel-casino Planet Hollywood de Las Vegas. La compagnie assume les fonctions de gestion pour Planet Hollywood Resort en préparation pour l’achat du casino. Celui-ci sera le dixième casino de Las Vegas Strip détenu et exploité par Harrah’s, la plus grande compagnie de jeux au monde.

Planet Hollywood avait été une bouffée d’air frais pour les joueurs cherchant une alternative dans le monde à peu près monopolistique de Las Vegas Strip. MGM Mirage contrôle 11 casinos et, avec Wynn, Las Vegas Sands et Harrah’s forment l’ensemble des opérateurs présents sur la Strip.

Tandis que les cadres de ces compagnies ont blâmé la récession pour leur baisse de revenus, certains analystes pensent que le retour à la diversité dans des conditions de concurrence renforcerait considérablement le pouvoir d’attraction de Las Vegas Strip.

L’analyste Sherman Bradley dit que le rôle du gouvernement fédéral sur le marché est de veiller à la libre concurrence, en empêchant la formation d’entreprises « trop grandes pour faire faillite ». Bradley explique que le manque de concurrence entre les opérateurs a mené à une réaction de rejet de la part des clients, qui se sont tournés vers les casinos en ligne et  les maisons de jeu régionales.

« Sans être stimulées par un environnement compétitif, les salles de jeu de la Strip ne se concentrent plus à convaincre les joueurs de fréquenter leurs casinos », affirme M.Bradley. La renaissance, pense-t-il, dépendra d’un changement de mentalité et de style.

La Belgique se dirige vers une « nationalisation » du poker en ligne

Au début de décembre 2009, la Chambre des Représentants de Belgique a approuvé un projet de loi censé donner des entraves au développement libre des jeux et des paris sur internet. Même en défiant une injonction de l’Union Européenne, la Belgique a donné feu vert à une législation qui pourrait mener à une « nationalisation » des activités de poker en ligne.

Le journal De Standaard a récemment publié un article révélant que le gouvernement va changer en 2010 son approche sur le poker en ligne. Ce changement servira à obliger les sites de poker étrangers à se tenir à l’écart du marché belge. Tous les fournisseurs de services internet du pays pourraient être forcés de bloquer les sites étrangers non-conformes aux nouvelles règles.

Cette démarche est au centre des discussions depuis plus d’un an, mais elle n’a pas abouti en raison de la forte opposition de l’Union Européenne, qui défend les lois du commerce équitable à l’intérieur de ses frontières. En juin 2009, l’UE a émis une ordonnance indiquant ces violations et exigeant à la Belgique de se conformer au droit européen.

Dans un système nationalisé de poker, tous les sites de poker devront être agréés par le gouvernement belge et être physiquement hébergés au sein du pays. De plus, seuls les joueurs belges auront accès à ces sites. Une situation similaire existe actuellement en Italie, où certaines des plus grandes compagnies de jeux ont créé spécialement des versions italiennes exclusives de leurs sites. Celles-ci fonctionnent sur des réseaux fermés et respectent les règles strictes imposées par le gouvernement italien.

Betfair milite contre le jeu compulsif

Le directeur général de Betfair a déclaré à un groupe spécial au sein du gouvernement australien que les casinos en ligne devraient établir de hautes normes pour se prémunir contre le jeu compulsif.

La légalisation des casinos en ligne pourra faire croître le nombre des joueurs compulsifs. C’est pourquoi Andrew Twaits pense que les représentants de l’industrie des jeux en ligne devraient collaborer avec les législateurs pour créer un environnement sécuritaire pour les consommateurs.

L’Australie a actuellement des lois permissives quant aux paris sportifs et les courses hippiques, mais interdit aux opérateurs d’offrir des jeux de casino, y compris le poker, la roulette et le blackjack. Toutefois, les Australiens dépensent à peu près 790 millions de dollars aux jeux en ligne basés à l’étranger.
En outre, les dépenses massives des Australiens au poker et aux machines à sous démontrent que ces activités n’ont pas été ralenties par les restrictions législatives.

« Je pense que ce que nous avons à faire, comme industrie, est de fournir la plus sûre plateforme possible », a déclaré le chef de Betfair. « Avoir un dispositif de sécurité en termes de limitation des pertes et des limites de dépôt, est la meilleure façon de prévenir le jeu compulsif. »

La Pologne prend des mesures contre les jeux en ligne

Les mesures draconiennes prises par le gouvernement polonais contre les jeux de casino ont suscité les critiques les plus dures.

Le Bureau du Comité pour l’Intégration Européenne (UKIE) a accordé au sujet une place importante dans le débat. Il a critiqué le projet du gouvernement polonais de réprimander les jeux en ligne. La publication Gazeta Wyborcza a été la première à ramasser les commentaires, ensuite repris par d’autres médias polonais.

Apparemment, l’UKIE désapprouve les dispositions qui suggèrent le blocage des fournisseurs d’accès à Internet (FAI). Par cette censure, on ferait du tort aux organismes qui défendent la liberté de l’Internet et également aux contribuables polonais.

Gazeta Wyborcza soutient qu’il y a des centaines de milliers de joueurs en Pologne qui jouent sur Internet et qui n’accepteront pas de bon gré la censure.

« Officiellement, le jeu en ligne est à présent interdit, mais il n’y a pas les moyens de mettre en oeuvre ces réglementations », apprécie le journal.

Les nouvelles réglementations exigent aux FAI de bloquer l’accès aux sites web et les dénoncer aux bureaux fiscaux polonais, l’Agence de Sécurité Intérieure ou à la police. Derrière ces mesures, on pourrait détecter le risque d’une censure officielle inavouée.

Dans le cas d’Australie, l’agence gouvernementale chargée d’assurer l’application de mesures similaires, a dû répondre à quelques questions incommodes quant à cette réprimande insensée.

Tout comme l’Australie, les bureaucrates polonais envisagent de créer une liste de sites web interdits, y compris ceux de jeux. Mais, avant que le projet de loi soit soumis au vote en Sejm, il sera envoyé à la Commission Européenne. La CE examinera sa conformité avec le droit communautaire.

En même temps, le projet prévoit que la publicité pour les activités de jeu et de pari en dehors des casinos, n’est pas interdite pour les sociétés étrangères impliquées dans des affaires lucratives avec les clubs de football polonais. Ces sociétés auront le droit de faire afficher leur nom sur des maillots, bannières et les panneaux d’affichages. Par contre, toute publicité censée diriger les clients vers leurs sites web sera interdite.

Des sociétés telles Expekt, Bwin, Unibet et Betclic ont toutes des contrats de sponsorisation avec les grands clubs de football polonais. Les politiciens ont été avertis des conséquences qu’une législation draconienne aurait sur ces partenariats profitables.

Le monopole allemand sur les jeux est secoué par une décision régionale

L’interdiction qui pèse sur les jeux d’argent en Allemagne pourrait prendre fin dans un proche avenir. L’un des 16 Etats fédérés allemands qui ont ratifié le Traité étayant l’interdiction a exigé son annulation à la fin de la semaine dernière.

La coalition démocrate-chrétienne (CDU) au pouvoir et le Parti Libéral (FDP) dans le Land du Schleswig-Holstein ont conclu un accord demandant l’invalidation du Traité inter-allemand concernant les jeux d’argent et son remplacement par une nouvelle réglementation.

Le leader de la coalition dans le Land du Schleswig-Holstein, Jurgen Koppelin, a exprimé un point de vue inflexible dans la question: soit tous les Etats allemands s’entendent sur une réglementation uniforme pour remplacer le Traité, soit la coalition introduit un système de licences intra-étatiques.

« L’argument selon lequel seul un monopole puisse protéger les joueurs, prévenir le jeu compulsif et combattre la fraude ne tiendra plus », a opiné l’avocat Martin Arendts.

L’Association Européenne des Jeux et des Paris (European Gaming and Betting Association – EGBA) a toujours soutenu que la position protectionniste du Traité contrevenait au droit communautaire. Plus précisément, l’interdiction des opérateurs étrangers sur le marché allemand contrevient à l’article 49 du Traité de Rome (Traité Instituant la Communauté Européenne), en restreignant la libertés y énoncées.

Arendts a également souligné que le Schleswig-Holstein avait ratifié le Traité inter-allemand seulement pour des « raisons fiscales », alors que l’Etat avait précédemment favorisé un Traité entre Etats sur les paris sportifs.

Si les Länders ne ratifient pas un nouveau règlement jusqu’au 1er janvier 2012 – la date à laquelle le Traité existant arrive à terme – le monopole actuel sera également inapplicable.

Le projet Gran Scala est de nouveau ajourné

Il y a trois mois, le Parlement d’Aragon a fait passer la Loi des Centres de Loisirs de Haute Capacité, censée donner feu vert au projet Gran Scala dont on parle depuis plus de deux ans. Cependant, International Leissure Development (ILD) n’a pas encore présenté le projet. Pour l’instant, les investisseurs ont reporté la date de début de la construction et celle de l’ouverture du complexe, prévue pour 2012.

La compagnie s’est quand-même engagée à présenter le projet au gouvernement d’Aragon avant la fin de 2009. Les investisseurs argumentent qu’il est très difficile de respecter les délais fixés, parce que la Loi des Centres de Loisirs de Haute Capacité impose des conditions très strictes.

Malgré le retard, personne ne doute que le centre Gran Scala d’Ontinena deviendra une réalité. La maire Angel Torres a déclaré, fin septembre, que « le projet se poursuit ». L’édile a insisté, en affirmant qu’on avait travaillé pendant tout le mois d’août. Il a fait valoir que les spécialistes « étaient en train de rédiger le projet et d’étudier le contenu de la loi », pour soumettre la documentation appropriée.

Avant le 10 octobre, ILD doit payer aux propriétaires 4% du prix du terrain sur lequel le centre sera construit. Le maire d’Ontinena croit que les investisseurs vont respecter le terme.

Les chiffres présentés par la société se conforment aux exigences prévues par la loi récemment adoptée. Le complexe avec tous ses terrains et annexes, occupera plus de 1.400 hectares, permettra la création de 65.000 emplois et disposera de 70 hôtels. Dans une première phase, il comprendra 10 hôtels-casinos, 4 parcs à thème et des centaines de magasins. La loi stipule également que l’entreprise s’engage à fournir un capital social d’au moins 10 millions d’euros.

La décision de la CJCE dans l’affaire « Bwin-Liga » décidera l’avenir des jeux en ligne

La décision de la Cour européenne de justice dans l’affaire « Bwin Liga » est attendue avec impatience par les opérateurs de casinos en ligne de l’Europe entière, du secteur privé comme des monopoles d’Etat. Tout le monde pense que la décision de la CJCE dans cette affaire très médiatisée sera très importante pour l’avenir des jeux en ligne en Europe.

L’affaire a été initialement renvoyée à la CJCE en 2007, par un tribunal d’Oporto: La Ligue Portugaise de Football Professionnel et son sponsor Bwin, le réputé opérateur de jeux et paris en ligne, ont porté plainte devant le tribunal pour les amendes qui leur avaient été imposées en vertu de la législation portugaise sur les jeux en ligne. La loi portugaise accorde le droit d’opérer des paris en ligne au monopole d’Etat représenté par la Santa Casa de Misericordia.

Par conséquent, les parties ont été en droit d’argumenter que la législation portugaise transgresse les principes du droit communautaire. L’arrêt de la CJCE à ce sujet pourra avoir les fonctions d’un précédent, car c’est la première fois que la Cour se confronte directement à un monopole autorisé par l’Etat. Il est également le premier cas qui traite des restrictions appliquées aux services inter-frontaliers de jeux sur internet.

« La décision aura des conséquences sur la prestation des services de paris en ligne dans tous les Etats membres », a déclaré un porte-parole des Loteries européennes, l’organe représentatif pour le secteur des loteries contrôlées par l’Etat. « Cet arrêt est donc attendu avec grand intérêt par les fournisseurs de jeux de hasard à travers l’Europe et devra devenir un repère. »

La CJCE devrait répondre à deux questions précises posées par la juridiction d’Oporto: premièrement, si l’interdiction portugaise appliquée à l’encontre du parrainage de Bwin viole les libertés fondamentales garanties par le Traité CE; deuxièmement, si « établir un monopole pour l’exploitation des loteries et des paris mutuels et ensuite étendre ce monopole à l’internet » est conforme au droit communautaire.

Outre la réponse à ces deux questions préjudicielles, les juges européens pourraient également soulever d’autres questions dans le verdict de 8 septembre. Par exemple, lors de la procédure orale de Luxembourg, le jury de la CJCE a demandé l’extension de la discussion. On prenait alors en considération s’il était conforme au droit européen de limiter le marché aux monopoles alors que les casinos terrestres et les machines à sous sont exploitées sous un système de concessions privé.

«Presque aussi important que le verdict lui-même est ce que la CJCE dit au-dessus, ce sont les implications plus larges », commente Clive Hawkswood, directeur général de la Remote Gambling Association (RGA), le groupe de lobbying des opérateurs de jeux du secteur privé.

L’arrêt de la CJCE dans l’affaire « Bwin Liga » sera publié le 8 septembre 2009.

Le projet CityCenter promeut le développement durable

CityCenter, le dernier projet d’envergure de MGM Mirage, va devenir, à sa finalisation, l’une des plus grandes constructions répondant aux exigences du développement durable. Par rapport aux édifices standard de Las Vegas, l’efficacité énergétique du complexe hôtel-casino City Center lui permettra d’épargner l’équivalent de l’énergie utilisée par 7.700 ménages. En raison de ces hauts standards écologiques atteints, la co-entreprise MGM Mirage et Infinity World Development Corp. cherche à obtenir la certification LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) Argent ou Or.

Le complexe, qui comptera 18 millions de pieds carrés, absorbant un investissement de 8.5 milliards de dollars, comprendra un casino, plusieurs hôtels et immeubles résidentiels de luxe, un lieu de restauration et une zone de commerces. Les mesures écologiques appliquées tout au long du projet comprennent l’achat des appareils qui économisent l’eau jusqu’à 39% à l’intérieur et jusqu’à 60% à l’extérieur. Ils auront aussi le premier parc de limousines à gaz naturel comprimé, une usine de cogénération assurant 10% de l’énergie électrique du complexe et un système efficace de chauffage, ventilation et climatisation.

Parmi les autres caractéristiques écologiques du complexe on doit nommer les chambres d’hôtel qui permettent aux invités de « rendre vert leur séjour », des machines à sous englobant les fonctions des appareils d’air conditionné et les opérations de recyclage à grande échelle. CityCenter aura la capacité de recycler et réutiliser plus de 230.000 tonnes de déchets.

En outre, la construction de CityCenter a permis la formation professionnelle de 10.000 travailleurs qui ont été initiés dans les techniques de bâtiment écolo. Les connaissances et les pratiques acquises pourront être appliquées à d’autres projets à Las Vegas et dans le pays entier.

Les casinotiers russes s’opposent à l’interdiction imposée par le gouvernement

Les casinotiers russes sont de plus en plus méfiants vis-à-vis des plans du gouvernement d’instituer les quatre zones spéciales de jeux. Les membres de l’industrie du jeu de Moscou ne croient pas à la possibilité d’un « déménagement » tellement rapide. Les problèmes principaux seraient le manque d’infrastructure et la réticence des opérateurs de transférer leur affaire dans une région loin des métropoles et des autres centres urbains. Avec ces prémisses, les projets des autorités sont mis en danger. Un bel avenir dans les enclaves de jeux préétablies par les dirigeants est flou.

Les opérateurs de jeux ont bien observé: rien n’a été construit ou réalisé dans les quatre zones, en dépit de la date-limite imposée aux maisons de jeux. Celles-ci devront fermer leurs portes avant le 1er juillet. Les zones exclusives sont censées circonscrire les jeux en Sibérie, sur la côte du Pacifique, à la mer Noire et dans le sud de la Russie.

« Personne ne veut y déménager, en outre, il n’y a pas d’infrastructure dans ces régions spéciales et rien n’a encore bougé », a déclaré Lavrenty Gubin, un porte-parole de la société de jeux Storm International.

A l’avis de Gubin, les mesures restrictives ne feront qu’ouvrir la voie du marché noir. Ce n’est pas le seul à le croire. Il est vraisemblable que les opérateurs qui refusent de quitter les grandes villes continueront à fonctionner en dehors de la loi. Le résultat sera que l’Etat perdra l’argent provenu des taxes. Le Moscou perdra des recettes en valeur d’environ 200 millions de dollars.